ACTUALISATION !
Notre petite maison
d’édition est fière de vous présenter une nouvelle parution. Soucieuse de
diffuser le plus largement possible, ce que l’on peut considérer comme des
travaux novateurs, nous poursuivons notre démarche contemporaine et éclectique.
Si les travaux
passés de deux de nos auteurs phares furent une nécessité néo-humaniste vitale,
pertinente, une herméneutique certaine de la trivialité humaine, il est
nécessaire de se pencher sur des alternatives conceptuelles.
Conscients de la
puissance de l’exhaustivité, nous remercions deux nouveaux auteurs, acceptant
de publier sous notre égide, des travaux certes en rupture, tout en
transgressions, mais néanmoins in fine complémentaires.
Jane Liverproof et Annick Holloway,
via « De la plénitude de l’espace qui stagne : inférences artistotéliciennes », opèrent une ouverture
alternative formelle et conceptuelle pregnante, entre
quotidien et absolu, entre objectivisme et sociométaphysique.
Titre de l’article : De
la plénitude de l’espace qui stagne : inférences artistotéliciennes
par Jane Liverproof et Annick Holloway.
Références produit : RDS790LA-JL
Numéro ISBN : 189656987-HHKE-6792
Auteurs : Jane Liverproof et Annick Holloway
NOS ANCIENNES PARUTIONS :
Titre de l’article : De la vacuité du temps qui passe : constats phénoménologiques par Klaus Zimmerfische et Heinrich Hönneldorf.
Référence produit : RDS7890KZ-HH
Numéro ISBN : 16789465-BBNR-54687
Parution
: Juillet 2006
Auteurs : Klaus Zimmerfische et Heinrich Hönneldorf
Le dernier traité philosophique de deux acteurs majeurs du néo-humanisme post-moderne de ce début de siècle. Fruit d’une collaboration impromptue, pourtant logique, éminemment fructueuse, cette fable moderne multimédia vous présente sous une forme originale et inédite, un constat inextinguible de la condition humaine. Puissante réflexion sur notre quotidien substantiel et relatif, « De la vacuité du temps qui passe » se veut une lecture amer, acide, sucré, salé, finalement réaliste de notre condition de mortel.
Notre coup de cœur du mois, qui vient de remporter le prestigieux prix Concourt décerné par l’académie de la fatuité exacerbée.